La BMCI à la 11ème édition du Salon International de l’Agriculture du Maroc

Pour la quatrième année consécutive, la BMCI participe au Salon International de l’Agriculture du Maroc, qui se tient du 26 avril au 1er Mai 2016, à Meknès.

Présente à travers un stand de 66 mètres carrés, mais aussi tout un dispositif d’animation, la BMCI invite les visiteurs du salon à découvrir les dernières nouveautés en termes de solutions d’accompagnement, proposées par le Corporate Banking BMCI.

Cette année encore, des équipes BMCI sont mobilisées à Meknès pour présenter aux professionnels et chefs d’entreprises des solutions de financement pour appuyer leurs investissements, mais aussi les conseiller quant à la gestion de la croissance, la gestion des flux…

La BMCI propose également aux visiteurs de cette grand-messe de l’agriculture, la consultation d’un Desk BMCI Leasing pour conseils et simulations de financement leasing.

A noter que le SIAM est devenu, à travers ses multiples éditions, le plus important des salons du secteur agricole en Afrique.

Le SIAM en chiffres :

172 000 m² de surface d’exposition
80 000 m² de superficie couverte
Durée : 5 jours
59 Pays participants
1090 exposants
817 000 Visiteurs
19 délégations étrangères
37 Conférences en 5 jours
30 Trophées
2 174 Animaux Présentés
214 coopératives et associations présentes
300 Journalistes accrédités

Jazzablanca : La scène BMCI au cœur des festivités.

La scène BMCI, Place des Nations Unies, invite les festivaliers à vivre des moments de plaisir, en proposant une programmation des plus éclectiques. Une scène gratuite, née de la volonté de la Fondation BMCI de démocratiser la musique Jazz et permettre aux Casablancais de vivre le festival Jazzablanca, sur cette place mythique, aux multiples symboles historiques et culturels : La Place des Nations Unies.

Le vendredi 22 avril, à 18h30, le ton sera donné par le groupe N3rdistan. Véritable phénomène des dernières années, ce groupe ovni de la scène musicale locale, porté par le jeune Walid Benselim secouera la place des Nations Unies avec sa voix puissante. Une musique qui puise à la fois dans le rap des années 90, dans l’électro, le rock, et parfois même le métal et le dubstep.

Le même soir, à 22h, Orange Blossom se produira en deuxième partie. Ce groupe venu tout droit de Nantes revient avec un album exceptionnel, profond et fascinant. Porté par Hend Ahmed, la nouvelle voix du groupe, leur projet est plus vibrionnant, plus viscéral.

La soirée du Samedi 23 Avril, sera marquée par la montée sur scène, à 18h30, d’un groupe mythique, symbole de toute une génération : les Golden Hands. Groupe qui a vu le jour en 1969 et qui s’est très vite fait connaître au Maroc, mais aussi à l’étranger.
Une soirée qui risque d’être mémorable car elle signe le grand Come-Back des « Golden Hands », mais aussi la présence des Hoba Hoba Spirit, précurseurs de la fusion afro, gnaoua et reggae qui prennent la relève, à 22h. Les Hoba Hoba que nous n’avons plus à présenter et qui incarnent aujourd’hui l’une des voix de la jeunesse marocaine.

La scène BMCI vivra également sur les rythmes d’Africa United, mélange de sons d’ici et d’ailleurs, avec des signatures de toutes les régions africaines. Des paroles et des sonorités qui célèbrent le continent africain, dans plusieurs langues : arabe, français, comorien, espagnol et anglais.
Ce concert de clôture de Jazzablanca, dimanche à 18h30, célèbre également toutes les richesses et les différences qui font du continent africain, ce beau carrefour culturel.

La scène gratuite BMCI, c’est aussi l’occasion pour les festivaliers d’assister à la magie des spectacles ambulants, avec une fanfare qui annoncera le début des concerts gratuits, le vendredi 22 avril, Place des Nations Unies ; et une autre qui marquera la clôture de Jazzablanca, le 24 avril.

Mobility Days chez BNP Paribas : 100 évènements à travers le monde

Pour la troisième année consécutive, BNP Paribas organise du 4 au 22 avril 2016 les « Mobility Days ». Cette année, 30 pays (*) se mobilisent pour promouvoir la mobilité interne.

Pendant 3 semaines, plus de 100 événements internes sont organisés dans l’ensemble du Groupe: Forum de l’emploi (Brésil, France, Italie, Luxembourg, Maroc, Royaume-Uni, Espagne, Pologne, Ukraine, …), bilan des compétences (Belgique, Maroc, Suisse, …) et conduite d’entretien (Chili, Maroc & Côte d’Ivoire, …), conférences thématiques (« Personal branding » en Belgique et Mexique, « Mieux se connaître afin de valoriser ses talents et Construire son projet professionnel » en Suisse, « Créer son réseau » en Grand Bretagne… ). Des expériences que les collaborateurs de BNP Paribas sont invités à partager sur Twitter avec le hashtag #MobDays16.

La mobilité interne est au cœur de la promesse employeur de BNP Paribas. En deux ans (2013-2015), le nombre de postes publiés sur les outils internes de job posting du Groupe a augmenté de 67 % (12 250 postes publiés en 2015). Le nombre de postes pourvus par la mobilité interne a augmenté de 63% sur la même période (4 900 en 2015).

Se développer et progresser : c’est ce que souhaitent les collaborateurs de BNP Paribas. En 2015, la moitié d’entre eux était en poste depuis moins de trois ans, ce qui illustre l’existence d’opportunités de carrière nombreuses et variées au sein du Groupe, qui s’attache à proposer à chacun des possibilités d’évolution professionnelle diversifiées ainsi que des mobilités tant géographique qu’entre ses différents métiers.

Yves Martrenchar, Directeur des Ressources Humaines de BNP Paribas précise : « Etre la banque d’un monde qui change, c’est un engagement pour plus d’agilité et de proactivité. Dans ce contexte, recruter les meilleurs talents et savoir les faire grandir est une nécessité. Les collaborateurs veulent des parcours évolutifs et stimulants. Ils sont en droit d’attendre cela d’un Groupe au business model diversifié et intégré, présent dans 75 pays ».

En février 2016, BNP Paribas a obtenu pour la troisième fois la certification «Top Employer Europe» pour la qualité de ses politiques RH.

 

(*) Argentine, Allemagne, Belgique, Brésil, Burkina Faso, Canada, Chili, Colombie, Comores, Côte d’Ivoire, Espagne, France, Hongrie, Gabon, Guinée, Italie, Luxembourg, Mali, Maroc, Mexique, Pérou, Pologne, Portugal, République Tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Suisse, Turquie, Ukraine, USA

Communiqué du conseil de Surveillance

LE GROUPE BMCI RÉALISE UN RÉSULTAT NET CONSOLIDÉ DE 501 MILLIONS DE DIRHAMS EN HAUSSE DE 37,4%

Sous la présidence de M. Jaouad HAMRI, le Conseil de Surveillance de la BMCI s’est réuni le 25 mars 2016 pour examiner l’activité et les résultats de la Banque au 31 décembre 2015.
Dans une conjoncture économique difficile, le Groupe BMCI a dégagé un résultat net consolidé de 501 MMAD en hausse de 37,4% par rapport à
l’exercice précédent.
La politique de maîtrise et d’anticipation des risques a permis une baisse de 14,4% du coût du risque par rapport à l’exercice 2014. Le coefficient
d’exploitation avec 48,6% demeure à un bon niveau.
Le Conseil de Surveillance a adopté les projets de texte de résolutions à soumettre à la prochaine Assemblée Générale Ordinaire et notamment celui
traitant de l’affectation du résultat social de l’exercice 2015 qui s’est établi à 412,5 MMAD.
Le Groupe BMCI dispose d’un bilan solide avec un ratio de solvabilité de 15,6% et un ratio de liquidité de près de 147%. Il sera ainsi proposé à l’Assemblée Générale du 27 mai 2016, la distribution d’un dividende brut d’un montant équivalent à celui de l’année dernière soit 30 dirhams par action.
Le groupe BMCI poursuivra en 2016 son plan de développement commercial tout en continuant à améliorer la qualité de ses prestations à la clientèle et à renforcer son rôle dans le financement de l’économie marocaine.

Le Conseil de Surveillance


A télécharger :

Groupe BNP Paribas : résultats au 31 décembre 2015

Le 4 février 2016, le Conseil d’administration de BNP Paribas, réuni sous la présidence de Jean Lemierre, a examiné les résultats du Groupe pour le quatrième trimestre et arrêté les comptes de l’année 2015.

Resultats31122015-FR

BONNE PERFORMANCE OPERATIONNELLE ET SOLIDE GENERATION ORGANIQUE DE CAPITAL

Dans un contexte de reprise progressive de la croissance en Europe, BNP Paribas réalise une bonne performance d’ensemble cette année.

Le produit net bancaire s’élève à 42 938 millions d’euros, en hausse de 9,6% par rapport à 2014. Il intègre au titre des éléments exceptionnels l’impact de la réévaluation de dette propre (« OCA ») et du risque de crédit propre inclus dans les dérivés (« DVA ») pour +314 millions d’euros tandis que les éléments exceptionnels du produit net bancaire s’élevaient au total à -324 millions d’euros en 2014.

Les revenus sont en progression dans tous les pôles opérationnels par rapport à 2014 avec une performance solide de Domestic Markets (1) (+1,6%), et une forte hausse d’International Financial Services (+14,5%) et de CIB (+13,2%). Ils bénéficient de l’impact positif des acquisitions réalisées en 2014 et d’un effet change significatif. Ils sont en hausse de 3,5% à périmètre et change constants.

Les frais de gestion, à 29 254 millions d’euros, sont en augmentation de 10,3%. Ils incluent des éléments exceptionnels pour un total de 862 millions d’euros : les coûts de transformation de « Simple & Efficient » et les coûts de restructuration des acquisitions pour 793 millions d’euros (757 millions d’euros en 2014) ainsi qu’une contribution de 69 millions d’euros à un fonds de résolution pour le sauvetage de quatre banques italiennes.

Les frais de gestion des pôles opérationnels sont en hausse de 9,3%. Ils progressent de 3,1% pour Domestic Markets (1), de 15,0% pour International Financial Services et de 11,5% pour CIB. A périmètre et change constants, ils augmentent de 3,2% du fait notamment de la mise en oeuvre des nouvelles réglementations, du renforcement de la conformité et de la finalisation des plans de développement, partiellement compensés par le succès du plan d’économies « Simple & Efficient ». Le coefficient d’exploitation des pôles opérationnels s’améliore ainsi de 0,2 point (2).

Le résultat brut d’exploitation est en hausse de 8,2%, à 13 684 millions d’euros. Il progresse de 8,7% pour les pôles opérationnels.

Le coût du risque du Groupe est stable à un niveau modéré et s’établit à 3 797 millions d’euros (3 705 millions d’euros en 2014) soit 54 points de base des encours de crédit à la clientèle (-3 points de base par rapport à l’année dernière). L’effet de périmètre lié aux acquisitions de 2014 s’élève à 143 millions d’euros.

Le Groupe met en oeuvre activement le plan de remédiation décidé dans le cadre de l’accord global avec les autorités des Etats-Unis et poursuit le renforcement de son système de contrôle interne et de conformité. Il enregistre à ce titre une provision exceptionnelle complémentaire de 100 millions d’euros pour industrialiser les dispositifs mis en place. Le Groupe avait enregistré l’année dernière l’impact de l’accord global avec les autorités des Etats-Unis pour un montant total de 6 milliards d’euros.

Les éléments hors exploitation s’élèvent à +592 millions d’euros (+211 millions d’euros en 2014). Ils incluent des éléments exceptionnels pour un total de -60 millions d’euros (-297 millions d’euros en 2014): des dépréciations exceptionnelles de survaleurs pour -993 millions d’euros (-297 millions d’euros en 2014) (3), la plus-value réalisée à l’occasion de la cession de la participation dans Klépierre-Corio pour un montant total de +716 millions d’euros, une plus-value de dilution due à la fusion de Klépierre et de Corio pour +123 millions d’euros, et une plus-value de cession sur une participation non stratégique pour +94 millions d’euros.

Le résultat avant impôt s’établit ainsi à 10 379 millions d’euros contre 3 150 millions d’euros en 2014. Il progresse de 13,0% pour les pôles opérationnels.

Le résultat net part du Groupe s’élève donc à 6 694 millions d’euros (157 millions d’euros en 2014). Hors éléments exceptionnels, il s’établit à 7 338 millions d’euros, en hausse de 7,3% (4), illustrant la bonne performance d’ensemble du Groupe cette année.

La rentabilité des fonds propres est égale à 8,3% (9,2% hors exceptionnels). La rentabilité des fonds propres tangibles est de 10,1% (11,1% hors exceptionnels). Le bénéfice net par action s’établit à 5,14 €.

Au 31 décembre 2015, le ratio « common equity Tier 1 » de Bâle 3 plein (5) s’élève à 10,9%, en hausse de 60 points de base par rapport au 31 décembre 2014. Le ratio de levier de Bâle 3 plein (6) s’établit pour sa part à 4,0% (+40 points de base par rapport au 31 décembre 2014). Le ratio de liquidité (« Liquidity Coverage Ratio ») s’établit pour sa part à 124% au 31 décembre 2015. Enfin, la réserve de liquidité du Groupe, instantanément mobilisable, est de 266 milliards d’euros (260 milliards d’euros au 31 décembre 2014), soit plus d’un an de marge de manoeuvre par rapport aux ressources de marché.

L’actif net comptable par action s’élève à 70,9 euros, soit un taux de croissance moyen annualisé de 6,5% depuis le 31 décembre 2008, illustrant la création de valeur continue au travers du cycle.

Le Conseil d’administration proposera à l’Assemblée Générale des actionnaires de verser un dividende de 2,31 € par action payable en numéraire, soit un taux de distribution de 45% conforme aux objectifs du plan.

La bonne performance d’ensemble du Groupe cette année illustre le déroulement satisfaisant du plan de développement 2014-2016. La croissance moyenne des revenus des pôles opérationnels depuis le début du plan s’établit ainsi à 5,5% (7) par an : +1,4% pour Domestic Markets, +9,0% pour IFS et +7,4% pour CIB. Le Groupe confirme ainsi son objectif de rentabilité des fonds propres pour 2016 (ROE de 10% calculé sur la base d’un ratio CET1 de 10%) et va préparer cette année son nouveau plan à moyen terme pour 2017 à 2020.

Au quatrième trimestre 2015, le produit net bancaire s’élève à 10 449 millions d’euros, en hausse de 2,9% par rapport au quatrième trimestre 2014. Il intègre l’impact exceptionnel de la réévaluation de dette propre (« OCA ») et du risque de crédit propre inclus dans les dérivés (« DVA ») pour +160 millions d’euros (-11 millions d’euros au quatrième trimestre 2014).

Les revenus des pôles opérationnels sont en hausse de 4,8% : ils augmentent de +0,4% pour Domestic Markets1, +6,8% pour International Financial Services et +8,4% pour CIB.

Les frais de gestion, à 7 406 millions d’euros, sont en augmentation de 7,6%. Ils incluent l’impact exceptionnel des coûts de transformation de « Simple & Efficient » et des coûts de restructuration des acquisitions pour 286 millions d’euros (254 millions d’euros au quatrième trimestre 2014), ainsi qu’une contribution de 69 millions d’euros (8) à un fonds de résolution pour le sauvetage de quatre banques italiennes.

Les frais de gestion des pôles opérationnels sont en hausse de 7,9% : +6,4% pour Domestic Markets (1), +7,4% pour International Financial Services et +10,7% pour CIB. Outre la contribution au plan de sauvetage de quatre banques italiennes pour 69 millions d’euros (8), ils enregistrent ce trimestre l’impact de plusieurs éléments non récurrents dont notamment des coûts de restructuration de BNL bc pour 20 millions d’euros et une contribution exceptionnelle en Pologne au fonds de garantie des dépôts et au fonds de soutien des emprunteurs en difficulté pour 31 millions d’euros.

Le résultat brut d’exploitation est en baisse de 6,9%, à 3 043 millions d’euros. Il recule de 1,2% pour les pôles opérationnels.

Le coût du risque du Groupe diminue de 4,3% par rapport à la même période de l’année précédente, à 968 millions d’euros.

Le Groupe enregistre par ailleurs dans les coûts relatifs à l’accord global avec les autorités des Etats-Unis une provision exceptionnelle complémentaire de 100 millions d’euros au titre du plan de remédiation pour industrialiser les dispositifs mis en place (50 millions d’euros au quatrième trimestre 2014).

Les éléments hors exploitation s’élèvent à -502 millions d’euros (-188 millions d’euros au quatrième trimestre 2014). Ils incluent notamment des dépréciations exceptionnelles de survaleurs pour -993 millions d’euros (-297 millions d’euros en 2014) (9) et la plus-value réalisée à l’occasion de la cession de la participation résiduelle dans Klépierre-Corio pour un montant total de 352 millions d’euros.

Le résultat avant impôt s’établit ainsi à 1 473 millions d’euros (2 020 millions d’euros au quatrième trimestre 2014). Il est stable pour les pôles opérationnels.

Le résultat net part du Groupe s’établit donc à 665 millions d’euros (1 377 millions d’euros au quatrième trimestre 2014). Hors éléments exceptionnels, il s’élève à 1 587 millions d’euros (1 875 millions d’euros au quatrième trimestre 2014).

(1) Intégrant 100% des Banques Privées des réseaux domestiques (hors effets PEL/CEL)
(2) A périmètre et change constants
(3) Dont dépréciation complète de la survaleur de BNL bc: -917 millions d’euros (-297 millions d’euros en 2014)
(4) Hors première contribution au Fonds de Résolution Unique (-181 millions d’euros)
(5) Ratio tenant compte de l’ensemble des règles de la CRD4 sans disposition transitoire
(6) Ratio tenant compte de l’ensemble des règles de la CRD4 à 2019 sans disposition transitoire, calculé conformément à l’acte délégué de la Commission Européenne du 10 octobre 2014
(7) Taux de croissance annuel moyen 2013-2015
(8) BNL bc (-65 millions d’euros), Personal Finance (-4 millions d’euros)
(9) Dont dépréciation complète de la survaleur de BNL bc: -917 millions d’euros (-297 millions d’euros en 2014)

 

 


A télécharger :

LA BMCI LANCE SA NOUVELLE CAMPAGNE DE COMMUNICATION « LES EXPERTS PROS »

La BMCI a lancé lundi 30 novembre sa nouvelle campagne de communication « Les Experts Pros ». A travers cette prise de parole, la banque souhaite mettre en avant l’engagement des équipes aux côtés des professionnels. Un engagement qui se traduit par un concept créatif innovant, mettant en scène l’univers de la Formule 1 et tout l’imaginaire qui lui est rattaché.

La BMCI souhaite de manière métaphorique incarner cette équipe de Formule 1 attentive au moindre détail, et dont chaque geste est réglé avec minutie. Le parallèle est fait avec « les Experts Pros » qui, par leur engagement sur le terrain, accompagnent les professionnels dans leurs besoins au quotidien, leur donnent ce nouvel élan nécessaire à leur activité et les aider à prendre le virage de l’innovation.

Cet accompagnement se matérialise par une large gamme de solutions couvrant la gestion de l’activité au quotidien, le financement des investissements des professionnels ainsi que des avantages exclusifs pour leurs projets personnels.
Ces solutions sont destinées principalement, aux professions libérales, aux professionnels de la santé, aux architectes…et également aux commerçants et artisans

La campagne de communication « Les Experts Pros » de la BMCI, a été déployée en TV, affichage urbain, presse, radio et digital.

Signature du partenariat entre le Groupe BMCI et la GIZ

Signature du partenariat entre le Groupe BMCI et la GIZ pour la mise en œuvre du projet de diversité des genres : « L’avancement professionnel des femmes du groupe BMCI, le pari gagnant »

La Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ) GmbH et le Groupe BMCI ont signé le 25 novembre à Casablanca, un contrat de coopération pour la mise en œuvre d’un projet de diversité des genres au sein du Groupe BMCI. Ce contrat a été signé par M. Laurent Dupuch, Président du Directoire du Groupe BMCI et M. Jürgen Dierlmaier, Directeur Résident de la GIZ au Maroc.

La collaboration entre les deux organismes remonte à la sélection en 2014 du Groupe BMCI dans le cadre de la première édition de la « Compétition pour une diversité des genres en entreprise », une initiative de la GIZ qui soutient le développement et la mise en œuvre de projets de gestion de diversité des genres au sein des entreprises dans la région MENA.

C‘est dans cette optique qu’intervient ce projet de coopération intitulé « L’avancement professionnel des femmes du groupe BMCI, le pari gagnant », qui vise l’amélioration de l’avancement des carrières des femmes au sein de l’entreprise. Le Président du Directoire Laurent Dupuch a déclaré à cet effet que : « La diversité des Genres est une question importante et a été placée comme un levier de la réussite du plan de développement du Groupe BMCI ».

 

A propos de l’approche de diversité des genres :

L’approche de diversité des genres vise à améliorer la performance des entreprises au Maroc, à travers des solutions commerciales et relations clients adaptées, qui valorisent la diversité du capital humain en général et des talents féminins, en particulier. A travers son programme régional « Intégration économique des femmes dans la région MENA » (EconoWin), La GIZ accompagne des entreprises marocaines, à la fois sur le plan technique et financier dans la réalisation de leur projet visant à mieux attirer, garder et promouvoir les talents féminins.

Il est à rappeler que le programme EconoWin est financé par le Ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ) et mis en œuvre par la GIZ.

La Fondation BMCI intensifie son programme bibliothèques de classes

Forte de son engagement dans l’éducation, la Fondation BMCI en partenariat avec l’association Al Jisr et les AREF (Académie Régionale d’Éducation et de Formation) des grandes villes du Maroc, parraine pour la 3e année consécutive 20 nouvelles écoles publiques primaires situées dans des quartiers défavorisés pour leur équipement en bibliothèques de classes.

Cette année, 3 zones sont concernées : le Grand Casablanca 4 écoles (rural), Rabat-Salé 8 écoles (rural/urbain) et Tanger-Tétouan 8 écoles (rural/urbain). L’objectif est de favoriser la lecture et de contribuer à l’amélioration des moyens de l’école publique. Les écoles seront dotées de plus de 15 000 livres en arabe et en français ainsi que des kits pédagogiques pour en faire bénéficier 12 000 élèves ainsi que leurs professeurs, et ce avec la complicité de directeurs des agences BMCI de proximité qui joueront un rôle de relai dans le programme.

Pour accompagner le projet, la Fondation BMCI a participé à 2 éditions du Concours Régional des bibliothèques de classes (2014 et 2015), organisé par Al Jisr et l’AREF du Grand Casablanca, qui récompense les meilleures réalisations artistiques des élèves faites à partir des livres ainsi que l’accompagnement pédagogique des professeurs.

Enfin, pour une meilleure exploitation des ouvrages fournis aux écoles, la Fondation BMCI a soutenu le projet d’Al Jisr d’élaboration d’un guide de bibliothèques de classes, un outil pratique et utile pour l’enseignant. Ecrit en arabe et en français, il sera distribué courant 2016 à l’enseignant afin de l’aider à comprendre le rôle de la bibliothèque de classe dans l’amélioration de la qualité de l’enseignement, sa mission, son organisation, son fonctionnement, les différents usages du fonds documentaire, et ce pour une exploitation optimale aussi bien par l’enseignant que par les apprenants.

Le programme bibliothèques de classes en chiffres (chiffres consolidés depuis 2006) :

  • 85 écoles équipées de plus de 950 bibliothèques de classes
  • Plus de 60 000 livres et plus de 650 kits pédagogiques distribués
  • Plus de 52 000 élèves bénéficiaires
  • 80 directeurs d’agences BMCI parrains de proximité : Casablanca, Rabat, Kénitra, Marrakech, Agadir, Tanger, Tétouan

 

A propos de la Fondation BMCI

Depuis 2008, la Fondation BMCI s’est appliquée à évoluer dans le respect des engagements pris par la BMCI en tant que banque citoyenne depuis les années 90. Elle mène une politique forte de responsabilité sociale et s’engage dans un Maroc qui change, où la solidarité est une valeur essentielle. Elle accompagne la vie de projets dans les domaines de de l’Education, du Handicap, la Musique et de l’Edition. La Fondation BMCI s’attache à soutenir l’insertion sociale des populations fragilisées ou handicapées, à optimiser le développement culturel dans les écoles publiques, à valoriser le patrimoine et à accompagner des artistes marocains… Elle encourage également l’engagement social de ses collaborateurs avec une initiative « Coup de Pouce », un programme qui soutient depuis 2009 de petites associations dans lesquelles des collaborateurs BMCI sont personnellement investis.

A propos de l’Association AL JISR

Créée en 1999, l’association Al Jisr a l’insigne privilège d’être placée sous la Présidence d’honneur de Sa Majesté le Roi Mohammed VI et bénéficie de la Reconnaissance d’Utilité Publique depuis 2007. Al Jisr se fixe pour mission de contribuer à la sensibilisation et à la mobilisation des entreprises privées pour leur implication dans l’éducation à travers le parrainage d’établissements scolaires. Cette implication se traduit par un appui multiforme apporté par l’entreprise dans le cadre du Comité de gestion de l’école en vue d’assurer une mise à niveau de l’établissement et de développer un système de management performant. Dans son action en faveur de l’école, Al Jisr a intégré les nouvelles technologies comme support indispensable à la modernisation de l’enseignement. Elle a également fait de la Protection de l’Environnement un axe transversal de son intervention en accompagnant des programmes d’Education Environnementale (Eco-écoles) et en intervenant directement dans la problématique de gestion des déchets informatiques à travers son programme Green Chip.

Groupe BNP Paribas : résultats au 30 septembre 2015

Le 29 octobre 2015, le Conseil d’administration de BNP Paribas, réuni sous la présidence de Jean Lemierre, a examiné les résultats du Groupe pour le troisième trimestre 2015. 

TableResultsFR

BONNE PROGRESSION DES RESULTATS ET SOLIDE GENERATION ORGANIQUE DE CAPITAL

Dans un contexte de reprise progressive de la croissance en Europe, BNP Paribas réalise une bonne performance d’ensemble ce trimestre.

Le produit net bancaire s’élève à 10 345 millions d’euros, en hausse de 8,5% par rapport au troisième trimestre 2014. Il intègre l’impact exceptionnel de la réévaluation de dette propre (« OCA ») et du risque de crédit propre inclus dans les dérivés (« DVA ») pour +37 millions d’euros ce trimestre (-197 millions d’euros au troisième trimestre 2014).

Les revenus sont en progression dans tous les pôles opérationnels par rapport au troisième trimestre 2014 : +0,8% pour Domestic Markets(1), +11,6% pour International Financial Services et +4,2% pour CIB. Ils bénéficient de l’impact positif des acquisitions réalisées en 2014 et sont en hausse de 1,7% à périmètre et change constants.

Les frais de gestion, à 6 957 millions d’euros, sont en augmentation de 7,3%. Ils incluent l’impact exceptionnel des coûts de transformation de « Simple & Efficient » et des coûts de restructuration des acquisitions réalisées en 2014 pour 160 millions d’euros (154 millions d’euros au troisième trimestre 2014).

Les frais de gestion des pôles opérationnels sont en hausse de 7,3%. Ils progressent de 2,4% pour Domestic Markets(1), de 12,4% pour International Financial Services et de 8,3% pour CIB. A périmètre et change constants, ils augmentent de 2,2% du fait notamment des investissements dans la mise en œuvre des nouvelles réglementations et le renforcement de la conformité.

Le résultat brut d’exploitation est en hausse de 10,9%, à 3 388 millions d’euros. Il progresse de 3,2% pour les pôles opérationnels.

Le coût du risque du Groupe est toujours à un niveau modéré et s’établit à 882 millions d’euros (50 points de base des encours de crédit à la clientèle). La base de comparaison du même trimestre de l’année précédente est peu significative du fait de l’effet périmètre lié aux acquisitions de 2014(2) et d’une reprise nette de provisions(3)  chez CIB au troisième trimestre 2014.

Les éléments hors exploitation s’élèvent à 163 millions d’euros (149 millions d’euros au troisième trimestre 2014).

Le résultat avant impôt s’établit ainsi à 2 669 millions d’euros contre 2 450 millions d’euros au troisième trimestre 2014. Il progresse de 0,8% pour les pôles opérationnels.

Le résultat net part du Groupe s’élève donc à 1 826 millions d’euros (1 595 millions d’euros au troisième trimestre 2014). Hors éléments exceptionnels, il est en hausse de 4,3%, illustrant la bonne performance d’ensemble du Groupe ce trimestre.

Au 30 septembre 2015, le ratio « common equity Tier 1 » de Bâle 3 plein(4)  s’élève à 10,7%, en hausse de 10 points de base par rapport au 30 juin 2015. Le ratio de levier de Bâle 3 plein(5)  s’établit pour sa part à 3,8% (+10 points de base par rapport au 30 juin 2015). Enfin, la réserve de liquidité du Groupe, instantanément mobilisable, est de 301 milliards d’euros (291 milliards d’euros au 31 décembre 2014), soit plus d’un an de marge de manœuvre par rapport aux ressources de marché.

L’actif net comptable par action s’élève à 69,8 euros, soit un taux de croissance moyen annualisé de 6,5% depuis le 31 décembre 2008, illustrant la création de valeur continue au travers du cycle.

Enfin, le Groupe met en œuvre activement le plan de remédiation décidé dans le cadre de l’accord global avec les autorités des Etats-Unis et poursuit le renforcement de son système de contrôle interne et de conformité.

Pour les neuf premiers mois de 2015, le produit net bancaire s’élève à 32 489 millions d’euros, en hausse de 12,0% par rapport aux neuf premiers mois de 2014. Il intègre l’impact exceptionnel de la réévaluation de dette propre (« OCA ») et du risque de crédit propre inclus dans les dérivés (« DVA ») pour +154 millions d’euros. Les éléments exceptionnels du produit net bancaire s’élevaient à -313 millions d’euros sur les neuf premiers mois de 2014.

Les revenus des pôles opérationnels sont en forte progression (+10,6%) illustrant la très bonne performance du Groupe sur la période: ils augmentent de +1,9% pour Domestic Markets(6), +17,4% pour International Financial Services et +14,7% pour CIB.

Les frais de gestion, à 21 848 millions d’euros, sont en augmentation de 11,2%. Ils incluent l’impact exceptionnel des coûts de transformation de « Simple & Efficient » et des coûts de restructuration des acquisitions réalisées en 2014 pour 507 millions d’euros (503 millions d’euros sur les neuf premiers mois de 2014). Ils intègrent par ailleurs l’impact(7) pour 245 millions d’euros de la première contribution au Fonds de Résolution Unique, pris en compte au premier trimestre pour la totalité de 2015 en application de l’interprétation IFRIC 21 « Droits ou taxes ».

Les frais de gestion des pôles opérationnels sont en hausse de 9,8%, permettant de dégager un effet de ciseau positif de 0,8 point. Ils progressent de 1,9% pour Domestic Markets(6), de 17,8% pour International Financial Services et de 11,7% pour CIB.

Le résultat brut d’exploitation est en hausse de 13,5%, à 10 641 millions d’euros. Il progresse de 12,0% pour les pôles opérationnels.

Le coût du risque du Groupe est en hausse de 5,1% par rapport à la même période de l’année précédente, à 2 829 millions d’euros, du fait de l’effet périmètre lié aux acquisitions de 2014(8). Il est en baisse de 1,1% hors cet effet.

Les éléments hors exploitation s’élèvent à 1 094 millions d’euros. Ils incluent notamment une plus-value de dilution due à la fusion de Klépierre et de Corio, la plus-value réalisée à l’occasion de la cession d’une participation de 7% dans Klépierre-Corio pour un montant total de 487 millions d’euros, ainsi qu’une plus-value de cession sur une participation non stratégique pour 94 millions d’euros(9). Les éléments hors exploitation s’élevaient à 399 millions d’euros sur les neuf premiers mois de 2014.

Le Groupe avait par ailleurs enregistré au premier semestre de l’année dernière l’impact de l’accord global avec les autorités des Etats-Unis pour un montant total de -5 950 millions d’euros.

Le résultat avant impôt s’établit ainsi à 8 906 millions d’euros (1 130 millions d’euros sur les neuf premiers mois de 2014). Il progresse fortement de 17,2% pour les pôles opérationnels.

Le résultat net part du Groupe s’établit donc à 6 029 millions d’euros (-1 220 millions d’euros sur les neuf premiers mois de 2014). Hors éléments exceptionnels, il est en forte hausse de 10,5%, illustrant la très bonne performance du Groupe sur la période. La rentabilité des fonds propres annualisée hors éléments exceptionnels s’élève à 9,6% (11,7% pour les fonds propres tangibles).
(1) Intégrant 100% des Banques Privées des réseaux domestiques (hors effet PEL/CEL)
(2) Effet périmètre de 24 millions d’euros
(3) Reprise nette de provisions de +88 millions d’euros chez CIB (dont +68 millions d’euros chez CIB – Corporate Banking) au troisième trimestre 2014
(4) Ratio tenant compte de l’ensemble des règles de la CRD4 sans disposition transitoire
(5) Ratio tenant compte de l’ensemble des règles de la CRD4 sans disposition transitoire, calculé conformément à l’acte délégué de la Commission Européenne du 10 octobre 2014, y compris remplacement à venir des instruments hybrides Tier 1 devenant non éligibles par des instruments équivalents éligibles
(6) Intégrant 100% des Banques Privées des réseaux domestiques (hors effet PEL/CEL)
(7) Impact estimé, net de la baisse de la taxe systémique française
(8) Effet périmètre de 166 millions d’euros
(9) CIB-Corporate Banking (74 M€), « Autres Activités » (20 M€)

 

 


A télécharger :